une grande salle, deserte, ou seul la clarté bleuté de la lune passait a travers les fenetres et eclairait la piece. Au milieu, il y avait une chaise et sur cette chaise un homme que l'on avait attaché avec des cordages de bateau. Remus rentra dans la piece, Un tabouret a la main, qu'il placa devant sa proie. Il s assit et enleva la corde qui empechait l'homme de parler
- Laissez moi partir... laissez moi partir...
L'homme ne s exprimait plus que dans un soufle, comme si il avait vu une chose horrible... Remus sourit
- Je ne peux pas faire ca... je t ai choisi pour mon diner... ni vois rien de personnel! j obeis juste a mon instinct, j en ai besoin pour survivre.
L'homme fut soudainement pris d'un crise de folie lorsqu il regarda le visage de remus, il s'agita sur sa chaise, la faisant basculer, il tomba par terre, criant de desespoir
patiement, remus lui mit une claque pour lui faire reprendre ses esprits. Puis il le releva.
Il s'etait appercu de ce qu avait vu sa proie. Il prit alors une mine désolée et s'essuya la bouche
- Je te demande pardon... ta femme etait délicieuse...
L'homme ne bougeait plus, il semblait attendre la mort, ou il semblait avoir comprit que pour lui mourir aujourd hui ou demain c etait egal...
- Tu sais... la vie, c est un cadeaux pour personne...je n ai pas vraiment choisis de devenir un monstre... ou du moins je ne m attendais pas a ca... Mais dis toi, que tu as vecu une belle vie! comme tout les gamins tu as grandit dans l'insouciance. Puis a ton adolescence t as surement rencontré ton premier grand amour! puis tu as continué ta vie... tu as plutot reussi...vu ton costume... Tu as trouvé une femme que tu aimais...tres belle, tu as vecu le paradis un temps... et puis je suis venu t arracher a la vie... il n y a vraiment rien a regretter... tu devrais sourire a ton destinct...
L'homme s etait recroquevillé sur lui même et semblait priller... remus l'en arracha, il l aggripa par les cheveux et le forca a le regarder.
- Ton dieu ne viendra pas... il n interfere jamais directement... Mais si tu veux te venger je vais te dire mon nom... REMUS DESTAMPI... retiens le et peut etre que dans une autre vie, tu auras ta vengeance...
en disant cela, il enfoncait ses crocs dans la chair tremblotante de l'homme, le vidant de son fluide vital. lorsqu il eu finit, il lacha son emprise. Et l'homme tombea en avant mort.
Un instant, il regarda le cadavre... Il ne ressentait rien de particulier.
Il se leva et decida qu a partir d aujourd hui cet endroit serait sa... seconde residence.